Lyon 1970 : Marie-Dominique Massonni « chasse »
Georges-Henri Morin de son poste au CET de Crépieux-la-Pape. Celui-ci prend au CET auto de Bron la place de Gilbert B. (exclu à cause de ses activités politiques). (Tous trois sont maîtres
auxiliaires.)1972 : M.-D. M. rencontre Gilbert B. Vie commune de 1973 à 1978. Location d’un appartement à Vaise. Fréquents séjours à Cabrerets (Lot). 1978 : M.-D.
M. rencontre Bernard Caburet (janvier). Rupture avec Gilbert B. (mars). Leur ancien appartement est loué à un inconnu. Automne, M.-D. M. rencontre G.-H. M… (« mon frère, ma sœur, mon mulâtre des
marais ») à Fougères où il réside. 1980 : M.-D. M. quitte Lyon pour Perpignan. 1981 : G.-H. M., de retour à Lyon, retrouve son ami Bernard Caburet. Il trouve,
grâce aux annonces classées, un appartement à Vaise. C’est l’ancien appartement de M.-D. M., il y réside encore. Perpignan (Thuir, Néfiach) 1982 : M.-D. M. devant restaurer une maison
rencontre l’architecte Laurent Méric. Ils deviennent amis.1984 : G.-H. M., en vacances chez M.-D. M., y fait la connaissance de Laurent Méric, qui a comme lui été élève au lycée
de Niort. Ils ont habité la même rue. L’architecte a d’ailleurs voici peu travaillé à la restauration de deux maisons à Coulon (village de G.-H. M). La première était
une épicerie (où G.-H. M., enfant, allait acheter ses pétards), la seconde est l’ancienne demeure des grands-parents de G.-H. M. Le tout a été transformé en hôtel-restaurant, à
la grande colère et au grand désespoir de G.-H. M. Pendant les travaux, un incendie a eu lieu. Pour diverses raisons, L. M. n’aura pu suivre ce chantier jusqu’à son achèvement.
M.-D. M. rencontre Jean-Jacques Méric, frère de son ami Laurent. 1987 : Vent de glace dans l’amitié passionnée de M.-D. M. et de G.-H. M. Paris 1989 : M.-D. M. vient s’établir à
Paris pour y vivre avec Jean-Jacques Méric.1994 (mai, septembre) : M.-D. M fait deux rêves qu’elle éprouve le besoin de communiquer à G.-H. M. et à Pierre Peuchmaurd qu’elle ne
connaît pas, mais dont elle aime la poésie, le prénom, et avec lequel elle est en correspondance. Dans une lettre, son « ami Pierre » lui dit son trouble face à d’évidentes
correspondances entre son rêve et des lieux réels qu’elle ne connaît pas. « Et plus encore… » Un dimanche de novembre, elle appelle G.-H. M. pour lui demander l’autorisation de
rendre publics ces quelques faits et rêves. Il a, la veille, lors d’une promenade dans le brouillard lyonnais, pensé si fort à Pierre, qu’il vient de lui écrire (lui non plus ne le connaît pas).
Le lundi matin, Pierre P. reçoit la demande de M.-D. M. au moment où il achève un poème, qu’il décide de lui dédier : « Pierres ». 1995 : à une signature de « Croisant le verbe »
de Guy Cabanel, M.-D. M. rencontre Pierre Peuchmaurd. |